C’est quand les fruitiers commencent à fleurir qu’on sent réellement la renaissance de la nature avec l’arrivée du printemps. Nous avions un cerisier dans le fonds du jardin, qui semblait en mauvaise forme. L’année suivant notre emménagement, en 2013, il nous a donné de belles petites cerises qui devaient être cueillies à maturité, sous peine de ne pas être sucrées. Ce fut sa dernière production, car il a rendu l’âme en 2014. Je ne voulais pas l’enlever et on m’a conseillé de planter un rosier grimpant à son pied : le rosier, en prenant de l’ampleur, allait le remplacer. En effet, le bois mort est toujours là, mais il abrite encore la vie. Tout près de lui, poussent cependant des merisiers, qui portent des fruits eux aussi, dont les poules se régalent.

Le merisier est en fleurs. 

« Le merisier présente certaines vertus curatives. Outre ses fruits. »

On utilise ses fruits, ses feuilles et son écorce. Il améliorerait le fonctionnement de l’appareil urinaire et augmenterait la miction, il facile le transit intestinal et traiterait les troubles digestifs (constipation). Il traiterait aussi les maladies rhumatismaes (arthrite, arthrose), les calculs urinaires. Il serait recommandé pour perdre quelques kilos rapidement, il traiterait les inflammations des reins et les insuffisances rénales. 

Astuce du jour : les queues de cerise sont de véritables nettoyeurs de toxines et les fruits de puissants antioxydants protégeant le système cardiovasculaire. (source : http://fruitsbio.blogspot.com)