Divoc, 28 avril 2020
J’adore la sauce béarnaise, mais je trouve sa réussite difficile. Artemisia dracunculus (estragon) en est l’ingrédient principal. La forme serpentine de sa racine faisait croire aux herboristes qu’il pouvait guérir les morsures d’animaux venimeux. De là est venu le terme grec drakon (dragon), l’arabe tarkhum (petit dragon) et le nom latin de l’espèce : dracunculus (petit dragon). (source : Wikipedia)
Avec son usage condimentaire, l’estragon présente des propriétés anti-oxydantes en huile essentielle (photo « après »)
“Photo avant-après étrange”
La photo de ce divoc a une histoire particulière, dont un avant-après qui semble à l’envers. Je m’explique : quand j’ai cueilli le brin d’estragon que vous voyez ci-dessus, il était disons assez raplapla (photo ci-dessous). Je l’ai pourtant photographié quasi immédiatement après sa cueillette. Le principe de divoc étant de vous montrer les végétaux tels qu’ils se présentent, sans retouche, je me suis donc résolue à garder cette photo raplapla, avec une certaine déception quand même. Cependant, j’ai joué le tout pour le tout et l’ai laissé séjourner quelques heures dans l’eau, ce qui a donné la mine de la photo d’après (ci-dessus), ce qui est quand même plus… vivante, non ? En général, c’est la photo d’après qui se produit avant la photo d’avant 😉
Photo d’avant (je vous assure que c’est le même brin d’estragon).
Le saviez-vous ? Il faut environ 100 kg de plantes séchées d’estragon pour obtenir 1 kg d’huile essentielle. Cette huile essentielle est dangereuse en cas d’usage abusif, connue pour ses propriétés abortives. (source : Wikipedia)
Divoc, 11 mai 2020
Une fleur tout à fait légale, malgré sa dénomination
Divoc,10 mai 2020
Fête des mères
Divoc, 9 mai 2020
Elle est aussi appelée herbe du bon soldat