Divoc, 27 avril 2020
Satureja (les Sarriettes ou Sariettes) est un genre de plantes à fleurs aromatiques de la famille des Lamiacées, que l’on trouve notamment sur les bords des chemins méditerranéens. Les sarriettes sont parfois appelées Pèbre d’ai ou Pèbre d’ase (qui signifie en provençal « poivre d’âne » à cause de ses vertus) ou poivrette (en Valais, en Suisse romande). Elles sont aussi connues sous les noms de savourée, de sadrée et d’herbe de Saint Julien.
Il existe deux espèces principales de sarriettes :
- la sarriette des jardins ou sarriette commune : Satureja hortensis L., qui est une plante annuelle ;
- la sarriette des montagnes ou sarriette vivace : Satureja montana L., qui est un sous-arbrisseau. C’est celle-ci que je vosu présente.
La minuscule fleur en boule de la sarriette (que j’ai longtemps confondue avec du thym)
“La sarriette présenterait des vertus aphrodisiaques”
Ce sont des plantes de climat méditerranéen, originaires d’une zone incluant l’Europe méditerranéenne (France, Espagne, Italie, Balkans), le Maghreb, une partie de l’Europe centrale (Ukraine), l’Asie Mineure et le Proche-Orient (Turquie, Syrie, Liban, Israël).
Ces deux espèces sont utilisées comme plantes aromatiques (notamment pour les grillades), condimentaires et médicinales. (source : Wipikedia)
La plupart des études sur la sarriette ont été effectuées à partir d’extraits de cette herbe, ce qui ne reflète pas nécessairement une consommation usuelle. Notons tout de même que des effets antifongiques et antibactériens, anti-inflammatoires et antidouleur ainsi qu’antispasmodiques et antidiarrhéiques ont été observés avec des extraits de sarriette ou des fractions de cette dernière, comme l’huile essentielle. De plus, certaines études récentes ont démontré des potentiels effets anti-diabétiques et anti-cholestérolémique de même qu’en prévention de la maladie d’Alzheimer de par son contenu élevé en antioxydants. Il faut par contre rester vigilant face à ces résultats puisqu’ils ne sont pas le fruit d’études cliniques bien contrôlées et que les quantités consommées dans les études sont de beaucoup supérieures à celles en usage courant de la population générale. (source : www.passeportsante.net)
#faudraitpasoublier
“#faudraitpasoublier”
J’ai promis à mon amie Immacolata Meo de participer à son « défi » #faudraitpasoublier. Alors, dans la liste à ne pas oublier : la désinvolture de nos dirigeants belges face à ce qui s’annonçait en Chine pour les risques liés à la maladie Covid-19, la manière dont ils ont traité de complotistes tous ceux qui se sont inquiétés de la gravité de ce nouveau virus, en vertu du manque de moyens alloués aux hôpitaux et à leur patrimoine humain, du manque de matériel (masques de protection notamment) et de la rareté, voire de l’interdiction des tests. N’oublions pas non plus les nombreux décès qui auraient pû être évités si on avait pu tester et si on avait eu des masques, les mensonges « le masque ne va pas aider » (sous-entendu, « de toutes façons, il n’y en a pas). Et n’oublions surtout pas la façon de traiter l’enseignement : un jour, les enfants sont l’avenir, mais après quelques semaines de vide économique, ils sont de la chair à canon (après les soignants de première ligne et leurs enseignants). Au nom de l’économie (pourquoi avons-nous espéré quelques courts instants que ça allait changer ?), il faut que leurs parents retournent bosser pour financer ce qu’on ne sait pas gérer.
Le saviez-vous ? À cause de sa réputation d’aphrodisiaque, au Moyen Âge, la sarriette était considérée comme une « herbe du diable ». Il faudra que sainte Hildegarde, dont la chasteté ne faisait aucun doute, en vante les vertus et en recommande la culture, pour qu’elle retrouve la popularité qu’elle avait du temps des Romains. (source : www.passeportsante.net)
Divoc, 11 mai 2020
Une fleur tout à fait légale, malgré sa dénomination
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Fête des mères
Divoc, 9 mai 2020
Elle est aussi appelée herbe du bon soldat